être aligné...

Il y a des moments dans ton existence où tu vis un grand bonheur, une grande joie, je sais que tu as expérimenté ces petits « maintenant » qui mettent de l’amour et de la passion dans ton cœur, ces petits instants où tu es toi-même, où tu ne te poses aucune question, ces instants de vrai plaisir.

Dans ces instants-là tu laisses de côté toute cette vie trépidante, tes soucis de travail, d’argent, de vie de famille, tu en oublies même le temps. Dans ces moments trop rares où tu ne te trouves plus qu’avec toi, le mental, ton intellect ne parasite plus le moment présent.

Et bien ces moments-là, c’est ce que l’on appelle l’alignement.

 Lorsque tu ressens ces moments de bonheur toujours trop cours, trop rares à tes yeux, c’est l’instant où tu es aligné, que ton conscient, ton subconscient et ton âme sont en parfait équilibre, qu’ils sont alignés.

Malheureusement tu vis dans un monde social où l’on va te persuader que le bonheur se trouve à l’extérieur de toi. Une voiture, une maison, une situation professionnelle, une famille des amis, un nom pour que les autres puissent te reconnaitre, une ville où tu habites afin que l’on puisse te situer socialement, un métier afin que l’on évalue tes compétences. Il est évident que tu as besoin de te sentir intégré dans un environnement pour vivre dans ce monde de matière. Il faut que tu comprennes que ces éléments viennent se greffer à toi mais ne sont pas « toi ». Tu n’as besoin que de ton être profond pour vivre ce vrai bonheur auquel tu aspires.

L’alignement est la seule action à envisager voie qui te permette de pour comprendre et de savoir qui tu es réellement.

Ton mental, ton intellect sont tellement parasités par les illusions du bonheur auxquelles on t’a fait croire depuis ta naissance et même dans tes vies antérieures, que tu ne sais plus faire autrement. Entre autres : les traditions, ces éléments du passé qui sont transmis de génération en génération, les conventions établies par un ou plusieurs groupes de personnes afin de déterminer une règle de conduite de vie en société, les religions qui te disent ce que tu dois faire, penser et ce en quoi tu dois croire.

L’alignement est le seul état dans lequel tu seras en phase avec toi-même, en phase avec ton âme qui n’est qu’amour et respect de toute vie.

Ce que tu vis chaque jour viendra contrarier et défier ton alignement, c’est donc en restant vigilant que tu resteras aligné ; autrement dit où ton conscient, ton subconscient et ton âme seront en cohérence dans l’instant présent.

Il ne faut pas que tu oublies que tu n’es pas un être de chair, de matière venue expérimenter le spirituel, mais plutôt un être spirituel venu expérimenter la matière et les cinq sens que tu connais. Ainsi il est bon que tu veilles à ce que ton corps de matière (conscience) soit toujours aligné à avec ton corps spirituel (subconscient) et non dans un état où que l’un parte au sud et l’autre au nord.

Il arrive bien trop souvent que ton conscient oublie ton subconscient et voyage seul sur les chemins de ta vie ce qui t’amène à un déséquilibre t’apportant douleurs et/ou souffrances. C’est dans l’alignement que tu resteras dans l’équilibre et que bon nombre de tes douleurs et/ou souffrances disparaîtront.

Ce que je te demande, c’est de sortir du groupe dans lequel la société t’a mis. Ce groupe d’humains qui suit les chemins jalonnés par une société qui ne désire pas que tu changes. La plupart des gens ne vivent pas dans l’alignement, ils ne savent d’ailleurs absolument pas ce que cela peut être. Ils n’envisagent même pas qu’il puisse être possible de vivre d’une autre manière que ce qu’ils ont toujours connu. Ils sont le plus souvent dans le refus de ce qu’ils ne connaissent ou ne maitrisent pas. Leur chemin de vie est balisé par tout ce qu’ils ont appris. Même si tu leur dis que le bonheur n’est pas dans ce qu’ils ont ou peuvent avoir, mais dans ce qu’ils sont ou peuvent être, ils ne t’écoutent pas par peur d’emprunter un chemin qu’ils ne connaissent pas, un chemin qui n’a pas été balisé. Il faut du courage pour sortir de sa zone de confort.

Lorsque tu prends vie dans la matière, que tu t’incarnes, tu disposes du « libre arbitre », du « libre choix » tu peux choisir de vivre pleinement dans la matière en te séparant de ton subconscient et de ton âme ou bien choisir l’alignement, la fusion entre la matière et la non-matière, entre le conscient et l’âme. Il est possible que tu ais peur d’entrer dans ce monde psychique, peur du regard des autres, peur de la différence, peur de ne plus entrer dans la norme et peur d’être rejeté.

Depuis que je suis en alignement, en équilibre avec mon âme et mon conscient, ma vie a changé. Je vis dans une réalité différente de la tienne. Je suis, vois et entends en mode positif en toutes circonstances, j’ai un amour inconditionnel pour toutes vies, je vis dans l’instant présent. Toi aussi tu peux y parvenir en lâchant-prise avec tout ce que l’on a pu t’inculquer, en vivant dans ton alignement. Ton âme te montrera pas à pas, avec l’aide de ton guide, le chemin de vie que tu as établi choisi avant de prendre naissance, tout doucement afin de ne pas te faire peur et de te garder conscient du moment présent.

Il arrive souvent que ton âme entre en communication avec une autre âme. Elles entrent alors en harmonie pour établir un plan précis pour que vous puissiez être heureux et évoluer ensemble. Mais il arrive trop souvent que l’intellect (le conscient) reprenne le dessus sur l’âme et finisse par prendre une autre direction. Si cette direction n’est pas en alignement avec le chemin que tu dois prendre, la joie te quitte doucement et tu entres dans une tristesse plus ou moins importante. En fait, c’est simplement que tu as quitté ton alignement et que tu es retourné dans une conscience empreinte de matière et ne vivant plus dans l’instant présent. Tu te persuades que seule ta conscience décide de ton destin et tu retournes doucement mais inexorablement dans tes croyances, tes traditions, tes superstitions, tes convenances et l’éducation que t’a donné la société. Lorsque tu commenceras à ressentir un certain malaise en toi, tu sauras que c’est le moment de revenir dans ton alignement car c’est dans ta « trinité » (âme, subconscient et conscient) que le vrai bonheur prend forme et sens.

Tu as conscience que la société fait tout pour te sortir de ton alignement, de ton moment présent. Et ce par tout moyens possibles, notamment au travers des médias : peuvent journaux, programmes télé, radio, internet, etc… Tous ces moyens de communications qui sont faits pour entretenir ta peur en te montrant que la violence, le pouvoir et la domination sont omniprésents à tous les instants de ta vie. Tout ce qui est fait pour t’amener à vivre en alignement et dans la transparence de ton être est tournée en dérision. Nous vivons depuis des milliers d’années dans un monde de matière, et donc avec des pensées axées et dirigées vers et par la matière. La société est faite depuis des milliers d’années pour que tu conserves et entretiennes tes peurs, afin de garder un pouvoir sur toi pour mieux te manipuler. Celle-ci n’a donc de cesse de te dire qu’il faut vivre dans la norme et que de sortir de cette norme fait de toi un marginal.

La définition du mot norme est la règle de conduite fixée par la société. Cette société axée sur le matériel, le pouvoir et la domination. Etant donné que tu cherches l’alignement, tu n’entres plus dans les règles de la société établie depuis des centaines d’années, et donc tu deviens un marginal. Une nouvelle société aspire de plus en plus à privilégier l’esprit (le spirituel) plutôt que le corps (le matériel). Sachant que de plus en plus de personnes veulent vivre dans l’alignement, la norme changera. Toi comme moi feront partie de la norme, et ceux qui resteront dans un monde purement de matière deviendront des marginaux. Je te dis cela afin que tu ne te sentes pas exclu ; tu feras partie entière de cette nouvelle société.

 

Comment peux-tu être en alignement et le rester ?

C’est tout d’abord un travail de chaque instant, avant que cela ne devienne une habitude. Être en alignement, c’est vivre en harmonie avec toi-même dans le bonheur et la joie, baigné d’énergies et de vibrations fines.

- Pour ce faire, il faut modifier tout ce que tu vois, entends, ressens de négatif en positif. Voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.

- Lâcher-prise avec tout ce que l’on a pu t’apprendre ; les coutumes, les traditions, les religions et te mettre en harmonie avec l’amour qui est en toi.

- Vivre dans le moment présent car il n’y a que lui qui soit vrai. Le passé n’existe plus et le futur pas encore.

- Lorsque tu vivras d’une façon positive, que tu auras lâché-prise et que tu vivras dans le moment présent, tu seras prêt à laisser toutes tes peurs. Pour ce faire, il faut que tu analyses tes peurs, que tu les comprennes puis que tu les acceptes. C’est de cette façon qu’elles disparaitront.

- Ne pas penser à la place des autres, par exemple : « Si j’avais été à ta place… » car tu ne peux être à la place de personne si ce n’est qu’à la tienne.

- Ne porter aucun jugement envers les autres et ne pas tenir compte des jugements des autres en prenant pour exemple la petite histoire de Jihad Darwiche.

 

« Sagesses et malices de Nasreddine, le fou qui était sage »

 

Le fils de Nasreddine avait treize ans. Il ne se croyait pas beau. Il était même tellement complexé qu’il refusait de sortir de la maison. « Les gens vont se moquer de moi », disait-il sans arrêt. Son père lui répétait toujours qu’il ne fallait pas écouter ce que disent les gens parce qu’ils critiquent souvent à tort et à travers, mais le fils ne voulait rien entendre.

Nasreddine dit alors à son fils : « Demain, tu viendras avec moi au marché. »

Fort tôt le matin, ils quittèrent la maison.  Nasreddine Hodja s’installa sur le dos de l’âne et,son fils marcha â côté de lui.  A l’entrée de la place du marché, des hommes étaient assis à,bavarder. A la vue de Nasreddine et de son fils, ils lâchèrent la bride à leurs langues : « Regardez cet homme, il n’a aucune pitié ! il est bien reposé sur le dos de son âne et il laisse son pauvre fils marcher à pied. Pourtant, il a déjà bien profité de la vie, il pourrait laisser la place aux plus jeunes. »

Nasreddine dit à son fils : « As-tu bien entendu ?  Demain, tu viendras avec moi au marché. »

Le deuxième jour, Nasreddine et son fils firent le contraire de ce qu’ils avaient fait la veille, le fils monta sur le dos de l’âne et Nasreddine marcha a côté de lui. A l’entrée de la place, les mêmes hommes étaient là. Ils s’écrièrent à la vue de Nasreddine et de son fils « Regardez cet enfant, il n’a aucune éducation, aucune politesse. Il est tranquille sur le dos de l’âne, alors que son père, le pauvre vieux, est obligé de marcher à pied ! »

Nasreddine dit à son fils : « As-tu bien entendu ? Demain, tu viendras avec moi au marché ! »

Le troisième jour, Nasreddine Hodja et son fils sortirent de la maison à pied en tirant l’âne derrière eux, et c’est ainsi qu’ils arrivèrent sur la place. Les hommes se moquèren d’eux : « Regardez ces deux imbéciles, ils ont un âne et ils n’en profitent même pas. Ils marchent à pied sans savoir que l’âne est fait pour porter les hommes. »

Nasreddine dit à son fils : « As-tu bien entendu ? Demain, tu viendras avec moi au marché ! »

Le quatrième jour, lorsque Nasreddine et son fils quittèrent la maison, ils étaient tous les deux juchés sur le dos de l’âne. A l’entrée de la place, les hommes laissèrent éclater leur indignation. Regardez ces deux-là, ils n’ont aucune pitié pour cette pauvre bête !»

Nasreddine dit à son fils : « As-tu bien entendu ? Demain, tu viendras avec moi au marché ! »

Le cinquième jour, Nasreddine et son fils arrivèrent au marché portant l’âne sur leurs épaules.  Les hommes éclatèrent de rire : « Regardez ces deux fous ; il faut les enfermer. Ce sont eux qui portent l’âne au lieu de monter sur son dos.  Et Nasreddine Hodja dit à son fils :

« As-tu bien entendu ? Quoi que tu fasses dans ta vie, les gens trouveront toujours à redire et à critiquer.  Il ne faut pas écouter ce que disent les gens, surtout lorsque celles-ci ne sont pas constructives. »

Par cette histoire, tu comprendras que ton bonheur passe par le détachement du regard des autres, de ne pas vivre au travers d’eux et de prendre la responsabilité envers toi-même de montrer à tous et toutes qui tu es réellement.

Voici un témoignage édifiant qui je l’espère te parlera.

Je peux dire qu’à une époque de ma vie, je n’avais pas d’estime de moi-même et je me comparais beaucoup aux autres. Les personnes autour de moi semblaient toujours mieux que moi. Je me sentais constamment menacée par les autres, car j’avais peur de ne pas être aimée.

Alors, il m’a fallu survivre à cet état d’âme en fuyant ma propre vie ou plutôt mon mal de vivre par des dépendances de toutes sortes, dont l’alcool et la drogue, ce qui a contribué à me sentir encore plus médiocre.

Je vivais à travers le regard des autres, tous ces regards me disaient si j’étais correct ou non. Je peux vous dire que je me sentais souvent très moche comparativement aux autres. J’étais à la merci de tous ces non-dits que j’interprétais selon mes perceptions, qui je peux dire, étaient très négatives envers moi-même.

Lorsque nous nous sentons inférieurs aux autres, nous avons besoin des gens pour élever notre niveau d’estime. Nous jugeons donc les personnes que nous côtoyons et nous faisons l’étalage de leurs défauts et défaillances dans le but d’élever notre propre estime personnelle. Nous entrons dans la vie des gens, de leurs histoires, car la nôtre est un film d’horreur puisque dépourvue d’amour de soi.

Nous mettons notre vie en veilleuse afin de ne pas sentir ce grand vide qui nous habite et qui nous pousse à fuir. Nous allons même jusqu’à vouloir contrôler la vie des autres en imposant notre vision quant à l’éducation de leurs enfants et la façon dont ils devraient mener leur vie. Pourtant nous aurions tout avantage à faire du ménage dans notre propre jardin avant de mettre notre nez dans celui de notre voisin.

Dans cet état de non-amour de soi, nous n’avons aucun pouvoir sur notre vie puisque nous vivons en fonction des autres, en fonction de leurs opinions et aussi des stéréotypes que la société nous miroite par des images de perfection que nous voulons atteindre afin de pouvoir nous sentir comblés. Cette image est cependant hors de portée puisqu’elle ne reflète pas la réalité de qui nous sommes. Nous nous retrouverons toujours insatisfaits et frustrés, car nous voulons atteindre un idéal fabriqué par notre égo qui est en quête de pouvoir et de prestige. Plus nous voulons être une autre personne que nous-mêmes, plus nous perdons le contrôle de notre vie et plus nous donnons le pouvoir aux autres de contrôler la nôtre et particulièrement notre état intérieur.

Oui, parce que nous devenons des êtres extrêmement influençables et vulnérables, car nous établissons notre valeur en fonction de ces regards d’approbation. Nous n’acceptons nullement qui nous sommes.

Pour ma part, j’ai beaucoup souffert de ne pas m’aimer en ne m’acceptant pas et en voulant ressembler à une autre personne que moi-même, que ce soit physiquement ou dans ma façon d’être ou de parler. J’enviais les autres, car ils semblaient avoir tout pour eux : la beauté, l’intelligence, la confiance en eux, etc.

Tout cela m’a éloigné de moi-même. Je voulais que ma vie soit comme je l’imaginais dans ma tête en étant cette personne que je n’étais pas et avec le physique que je n’avais pas au lieu d’accepter ma réalité.

Je vivais à l’extérieur de ma vie, je ne savais pas ce que je voulais créer dans ma vie et qu’elles étaient vraiment mes aspirations. Ce qui importait était ce que les autres voulaient que je sois afin de me sentir comme eux. Imaginez le pouvoir que je leur laissais. Je peux dire, avec le recul, que le plus beau cadeau que nous puissions nous faire est de cesser de fuir notre vie et de la VIVRE. Accepter qui nous sommes dans notre intégralité et nos imperfections.

Il est important d’utiliser notre pouvoir de choisir, mais pour cela nous devons retrouver notre estime en nous témoignant de l’amour par l’acceptation totale et sans réserve de tout ce que compose notre vie en incluant nous-mêmes. Cesser de donner de l’importance à ce que les autres pensent ou disent de nous. De cette façon nous leur enlevons le pouvoir que nous leur avions donné jadis.

Vivre ma vie aujourd’hui est un grand bonheur, je n’ai plus besoin de fuir puisque mon estime ne se trouve plus à travers le regard des autres, mais plutôt à travers la joie que j’ai maintenant à profiter de mon voyage sur cette belle planète, car elle a une date d’expiration. Je n’ai plus de temps à perdre à vivre une vie qui ne m’appartient pas. J’aime mieux accompagner les gens dans leur voyage au lieu de les envier ou de vouloir leur prouver ma valeur en étant dans leurs souliers.

Si vous m’aviez dit, il y a quelques années, que j’atteindrais un bien-être en cette vie, je ne vous aurais pas cru. Ma vie se déroulait sans que je puisse en avoir le pouvoir puisque j’étais trop perturbée par l’opinion que les gens pouvaient avoir de moi, qui finalement était une projection de ce que je pensais de moi-même.

Vouloir vivre une autre vie que la sienne, c’est se perdre dans le néant et se priver de l’amour puisque notre cœur est fermé à soi-même donc à toutes manifestations d’amour. Il est donc mieux d’apprendre à vivre avec ce que l’on a et de l’apprécier tout simplement.

Aujourd’hui je me vois comme un cadeau que j’offre au monde par l’être unique que je suis et que vous êtes également et soyez-en fiers !

Alors, gardez le pouvoir sur votre vie et offrez ce que vous avez de plus beau… VOUS-MÊME!

Tu ne dois pas craindre de prendre un chemin différent des autres, si celui-ci t’apporte bonheur et joie, même si les autres te critiquent et te jugent.

Ce que tu as à faire est de maintenir ton alignement la joie et le bonheur qui sont en toi. Ne tiens pas compte des rires et des personnes qui pourront se moquer de toi. Bien-sûr tu ne pourras pas maintenir ton alignement en permanence à cause d’une personne, d’une peur, de ton conscient tourné vers à l’extérieur. Et ça, Alors tu sentiras très vite que tu n’es plus aligné car ton bonheur et ta joie te quitteront le temps d’un instant. En le sachant tu feras rapidement volte-face afin de te recentrer à sur ta trinité (alignement).

Ce que tu dois faire à partir de maintenant, c’est de conserver ton alignement et ce en toutes circonstances en gardant l’amour et la joie qui sont en toi, car tu sais que ton bonheur est construit par toi, par ton alignement. Les autres diront de toi que tu es une personne pleine d’assurance, que ça fait plaisir de voir la confiance que tu as en toi. Que tu n’as plus peur de montrer à tous qui tu es et ce que tu penses.

Mais ce qu’ils ne savent pas, c’est que cela t’a demandé beaucoup de courage et une remise en question pour arriver là où tu en es, de ne plus entrer dans ce « moule » dans lequel la société voulait te garder.

Il est évident qu’après avoir pris l’habitude d’être en alignement, il te sera difficile de ne plus l’être car tu percevras presque instantanément ton déséquilibre. Tu auras pris conscience que la seule personne qui puisse te maintenir en alignement, c’est TOI.